mercredi 25 janvier 2017

Rien que pour vos yeux (John Glen - EON Productions - 1981)


Un navire britannique est coulé dans les eaux albanaises avec à son bord un système de détection et de lancement top-secret de missiles, l'ATAC. Le KGB emploi aussitôt les grands moyens pour tenter de récupérer le précieux appareil, tandis que le MI6 charge James Bond de le ramener à bon port. Au cours de cette mission périlleuse, l'agent 007 va se familiariser avec les mœurs de cette partie de l'Europe ainsi qu'avec la ravissante Melina Havelock, dont les parents ont été tués en tentant de récupérer l'ATAC pour les Britanniques, et qui a donc juré une vengeance absolue contre leurs bourreaux, ce que Bond va rapidement parvenir à exploiter à ses propres fins. En remontant la piste des assassins, le duo se place sur la route de Aristotle Kristatos, dangereux trafiquant qui sait brouiller les pistes et a promis au KGB de leur fournir l'ATAC au plus vite. Une course contre la montre s'engage alors avant que le haut responsable de l'agence soviétique n'arrive pour s'emparer du système anglais, avec le sort de l'Europe en tant qu'enjeux et en toile de fond la romance nouvelle entre Bond et Melina, sur fond de dette de sang immuable.

Un nouvel épisode des aventures de James Bond, mais cette fois-ci loin des extravagances des deux précédents réalisés par Lewis Gilbert. John Glen revient à une intrigue plus terre-à-terre avec des enjeux moins cataclysmiques mais non moins importants toutefois. On apprécie grandement de retrouver la formule classique d'un bon James Bond, et Rien que pour vos yeux est également une histoire de vengeance passionnée et de romance.

Sur ce, je vous laisse vous faire votre propre avis et je vous souhaite une bonne séance, en espérant vous retrouver bientôt pour un nouvel article !

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