vendredi 20 avril 2018

La V.O. du vendredi n°99 : Red Sonja - The Black Tower (Dynamite - Décembre 2015)


Nous voici de retour dans l'âge Hyborien, l'âge des aventures fantastiques et sanglantes de Red Sonja ! La rousse guerrière fait halte dans une petite ville tranquille, du moins l'était-ce avant que n'apparaisse une mystérieuse tour noire enveloppée d'un voile de ténèbres... l'apparition de cette tour, sans aucune autre explication, commence à faire tourner les esprits et à susciter le malaise et la haine pour l'inconnu. Alors, quand deux individus issus de cette tour sont massacrés par une troupe barbare, le sang de Sonja ne fait qu'un tour et elle massacre à leur tour les vandales avant qu'ils ne puissent faire davantage de mal à la population locale. Mais une fois partie, Sonja laisse derrière elle un sentiment de colère qui poussera de nombreuses armées à tenter de s'emparer de la ville à la tour noire, de la faire sienne et d'en retirer toute la gloire par sa simple présence. Alors, quand Sonja est malgré elle reconduite vers cette maudite cité et forcée à combattre dans les arènes, voici qu'elle triomphe de chaque adversaire et qu'elle réveille malencontreusement les habitants de la tour, d'étranges créatures humanoïdes mécaniques et sans âme, qui commencent à réduire toute la population en esclavage au nom d'un tyran encore inconnu, venu lui aussi de cette fameuse tour. Qu'est donc la tour noire en réalité ? D'où vient-elle, pourquoi est-elle apparue ici à cette époque reculée ? Et surtout, Red Sonja pourra-t-elle vaincre une fois encore les forces de l'oppression ou bien est-ce désormais sa toute dernière aventure avant que le froid glacial de la Mort ne vienne se saisir d'elle ? Quoi qu'il arrive, la légende de Sonja se poursuivra et d'autres continueront ce qu'elle a entamé, jusqu'à ce que sa vengeance soit accomplie !

C'est là un conte bien cruel qui nous est servi dans ce petit tome de seulement quatre chapitres, qui se lit à toute allure sans temps mort ni pause. Il suffit de se laisser porter par la narration endiablée et de faire de son mieux pour suivre le rythme de la dernière aventure de la Diablesse à l'épée... du moins à ce que l'on nous dit en ouverture. Entrer davantage dans les détails pourrait malheureusement vous gâcher le suspens et le plaisir de certaines révélations concernant la tour noire et ses occupants, aussi je m'arrête là afin de vous laisser tout le loisir de découvrir tout cela vous-mêmes. Sachez juste que cette histoire très rapide et concise est dans la plus pure tradition des récits pulps d'antan, et qu'elle sert à merveille la légende de notre guerrière préférée.

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