La
massacrologie se termine ici avec le dernier arc de la trilogie,
Deadpool contre lui-même ! Ou plutôt, celui que l'on appelle
désormais Dreadpool contre toutes les autres itérations du
personnage à travers le multivers. Le Deadpool de la Terre-616
(notre Terre) est bien vite contacté par les membres survivants du
Deadpool Corps, qui ont besoin de son aide pour renverser la vapeur
et empêcher Dreadpool et ses nombreux Deadpool partisans de tuer
tous les autres. Une question se pose en effet : si Deadpool est
à l'origine de ses propres récits et péripéties, le supprimer
mettra-t-il fin définitivement au cycle de la continuité ? Ou
bien n'est-ce que le début d'une nouvelle histoire à rajouter à la
pile ?
Un
album hilarant, comme souvent avec ce personnage bien particulier,
qui commence fort avec une exécution brillante. Cullen Bunn conclue
(normalement) sa trilogie du massacre avec ce dernier arc et nous
offre une saisissante vision de Deadpool comme on a peu l'occasion de
le lire. Au moment de la sortie de son propre film, en ce jour, cela
fait du bien d'avoir ces petites histoires bien dessinées et bien
racontées à se mettre sous la dent.
Sur
ce, je vous laisse vous faire votre propre avis et je vous souhaite
une bonne lecture, en espérant vous retrouver bientôt pour un
nouvel article !
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