James
Bond doit cette fois-ci à tout prix empêcher un milliardaire
misanthrope de provoquer un génocide à l'échelle planétaire en
déclenchant une Troisième Guerre Mondiale entre les États-Unis et
l'URSS, afin de créer une nouvelle civilisation sous la surface des
océans. Pour arrêter ce plan redoutable, l'agent 007 devra faire
équipe avec le meilleur élément des services secrets soviétique,
la belle et impitoyable Triple-X, dont il a auparavant assassiné
l'amant qui projetait de le tuer. Éprise de vengeance, Triple-X
laissera l'enquête se poursuivre à une seule condition : à la
fin de cette affaire, elle tuera 007. Le compte-à-rebours est donc
lancé pour sauver le monde et tenter par tous les moyens de sauver
sa propre vie, menacée à chaque instant par le terrifiant Requin,
tueur à gages sanguinaire aux dents de métal et semblant
littéralement increvable.
Le
film est adapté d'un roman de Ian Fleming, Motel 007
(The Spy Who Loved Me)
mais n'en reprend cependant que très peu d'éléments. Lewis Gilbert
offre à l'agent Britannique un nouvel ennemi mégalomane et
charismatique en la personne de Karl Stromberg, joué par Curd
Jürgens, et bien sûr l'iconique Requin joué par Richard Kiel,
devenu très vite un véritable phénomène de par sa taille et son
jeu, malgré l'absence de la moindre ligne de dialogue. Stromberg
reprend les grandes ficelles que tirait autrefois le S.P.E.C.T.R.E.,
à savoir la manipulation des nations à l'échelle mondiale, sauf
qu'ici il ne s'agit pas d'en retirer un quelconque revenu ou une
rançon mais bien de provoquer la destruction de la civilisation à
grande échelle. Cette nouvelle forme de folie sera difficile à
appréhender pour James Bond, mais il ne reculera devant rien pour
sauver le monde une fois de plus, même risquer sa propre vie.
Sur
ce, je vous laisse vous faire votre propre avis et je vous souhaite
une bonne séance, en espérant vous retrouver bientôt pour un
nouvel article !
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