Un
navire britannique est coulé dans les eaux albanaises avec à son
bord un système de détection et de lancement top-secret de
missiles, l'ATAC. Le KGB emploi aussitôt les grands moyens pour
tenter de récupérer le précieux appareil, tandis que le MI6 charge
James Bond de le ramener à bon port. Au cours de cette mission
périlleuse, l'agent 007 va se familiariser avec les mœurs de cette
partie de l'Europe ainsi qu'avec la ravissante Melina Havelock, dont
les parents ont été tués en tentant de récupérer l'ATAC pour les
Britanniques, et qui a donc juré une vengeance absolue contre leurs
bourreaux, ce que Bond va rapidement parvenir à exploiter à ses
propres fins. En remontant la piste des assassins, le duo se place
sur la route de Aristotle Kristatos, dangereux
trafiquant qui sait brouiller les pistes et a promis au KGB de leur
fournir l'ATAC au plus vite. Une course contre la montre s'engage
alors avant que le haut responsable de l'agence soviétique n'arrive
pour s'emparer du système anglais, avec le sort de l'Europe en tant
qu'enjeux et en toile de fond la romance nouvelle entre Bond et
Melina, sur fond de dette de sang immuable.
Un nouvel épisode des
aventures de James Bond, mais cette fois-ci loin des extravagances
des deux précédents réalisés par Lewis Gilbert. John Glen revient
à une intrigue plus terre-à-terre avec des enjeux moins
cataclysmiques mais non moins importants toutefois. On apprécie
grandement de retrouver la formule classique d'un bon James Bond,
et Rien que pour vos yeux est
également une histoire de vengeance passionnée et de romance.
Sur
ce, je vous laisse vous faire votre propre avis et je vous souhaite
une bonne séance, en espérant vous retrouver bientôt pour un
nouvel article !
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