La Chatte Noire est désormais en guerre ouverte avec la Guilde des Voleurs de New York ! Après un numéro très remarqué auprès de la maggia où Félicia et Spider-Man ont réussi à déjouer la sécurité de l'organisation et à lui subtiliser une somme assez conséquente, retour au plan initial à savoir réussir à s'introduire dans le coffre de la Guilde, gardé très secrètement dans une autre dimension, rien que ça !
Pour ce faire, les éléments que Félicia a déjà volé à Reed Richards et au Docteur Strange devront encore être associés à d'autres objets recelant des propriétés mystiques, notamment un tableau très recherché qui l'amènera à Madripoor où elle fera la rencontre de Wolverine avec qui elle formera un tandem pour récupérer ledit tableau d'entre les mains d'un sale gosse très énervé.
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Voilà c'est honnêtement tout ce que j'ai à dire sur ce second tome de la série Black Cat, et très sincèrement c'est déjà pas mal. Il n'y a pas grand chose d'intéressant à se mettre sous la dent, la série devient un ersatz pseudo-super-héroïque de film de cambriole comme on en a déjà vu des centaines au cinéma ou à la télé... ou même dans les comics justement.
C'est vraiment une déception en ce qui me concerne, parce que je tiens beaucoup au personnage de la Chatte Noire et je pensais vraiment qu'une série rien que sur elle, avec tout le potentiel qu'elle possède, ça ne pouvait que déménager ! Eh bien non, ça reste très simpliste et surtout superficiel en tout cas pour ce qui est de ce tome-ci, dont le titre vient d'ailleurs du seul premier chapitre, sur six. Dommage donc.
Niveau dessin... c'est pas vraiment mon délire, le style des différents artistes oscille entre le simpliste et le normal, pas de quoi fouetter un chat. Il n'y a même pas la petite dose d'harmonie qui m'amènerait à me souvenir de certaines scènes, non c'est un gâchis pur et simple du début à la fin. Félicia Hardy méritait bien mieux. Un troisième tome sera peut-être programmé dans un futur proche étant donné que l'intrigue principale n'est toujours pas résolue à l'issue de celui-ci, mais franchement ce sera peut-être sans moi si ça continue sur cette voie. Ce ne sont pas les quelques couvertures signées J. Scott Campbell qui me convaincront de poursuivre une lecture qui devient désagréable à la longue.
Sur ce, je vous laisse vous faire votre propre avis et je vous souhaite une bonne lecture, en espérant vous retrouver bientôt pour un nouvel article !
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